Une enquête sur la vente d’environ 75 tonnes de bœuf avarié sur les marchés locaux a été demandée à la police . Cette action a été motivée par Atchariya Ruangratanapong, un militant, qui a appelé le Bureau central d’enquête à engager des poursuites judiciaires contre deux sociétés de transport maritime et cinq hauts fonctionnaires du Département de l’élevage. On pense que ces parties sont impliquées dans la commercialisation du bœuf « pourri » sur les marchés.
La viande de bœuf en question avait été stockée dans trois conteneurs, saisis pour examen au port de Laem Chabang, dans la province de Chon Buri, en 2018. Ce n’est qu’en 2020 que les autorités ont autorisé les deux sociétés d’importation impliquées à récupérer la viande de bœuf pour la vendre sur les marchés locaux.
On ne sait pas pourquoi cette affaire éclate fin 2023. On imagine que les conteneurs étaient quand même réfrigérés.
Soulignant la gravité de la situation constatée au cours de l’enquête, Atchariya a expliqué que la majeure partie de la viande de bœuf était avariée en 2020.
Cet acte a soulevé d’importantes inquiétudes en matière de santé et de sécurité, car la viande de bœuf avariée expose le public à un risque potentiel de contracter des maladies. L’accent est désormais mis sur la responsabilisation des autorités.
cette illustration n’est pas liée à l’affaire ci-dessus
