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Parmi tous les projets et investissements compromis par l’instabilité politique : le GP de F1 de Thaïlande

thaivisa 20 Août 2024
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Démonstration d'un Red Bull (propriété thaïlandaise) dans les rues de Bangkok, il y a quelques années

Il y a quelques jours encore, la Thaïlande semblait bien placée pour intégrer le calendrier de la Formule 1 dans les prochaines années. Liberty Media avait exprimé son ambition d’organiser un deuxième Grand Prix en Asie du Sud-Est en plus de Singapour. Greg Maffei, PDG de Liberty Media, avait déclaré il y a quelques mois que Liberty Media cherchait à identifier les endroits où se trouvent les fans pour organiser une grande course dans la région.

En mai dernier, lors du GP d’Émilie-Romagne, une rencontre a eu lieu entre les décideurs de la F1 et le premier ministre Srettha Thavisin. En juin, ce dernier avait évoqué la possibilité d’accueillir le paddock à Bangkok, Pattaya ou sur l’aéroport d’U-Tapao, sur un circuit urbain ou permanent d’ici 2027 / 2028.

Patatras, la Thaïlande traverse actuellement une crise politique qui a conduit à la destitution de Srettha Thavisin par la Cour constitutionnelle. Cette instabilité chronique affecte l’organisation d’un éventuel Grand Prix de Thaïlande. La nouvelle première ministre, Paetongtarn Shinawatra, élue le 16 août, pourrait mettre le projet en pause. Pire, avec le départ de Srettha Thavisin, la Thaïlande perd « le contact » avec la Formule 1 qui, de toute façon, a besoin de stabilité au moment d’établir les calendriers des saisons.

Cet exemple d’interaction entre stabilité politique et investissements étrangers est emblématique mais le même scénario se répète dans tous les secteurs.

Danucha Picyayanan, du Conseil national de développement économique et social (NESDC), met en garde : au 2e trimestre, l’investissement privé a connu une baisse de 6,8 % et l’investissement public une baisse de 4,3 %. Il ajoute que les investissements étrangers ont diminué ces dernières années ce qui est très dommageable et ce malgré l’activisme de Strettha. Pour Danucha, la Thaïlande a besoin d’un gouvernement stable et les investissements privés doivent être relancés grâce à de nouvelles règles, en particulier dans le CEE (Chonburi – Rayong).

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