
arrestation du Yakusa
Un couple a été arrêté pour le meurtre d’Ann Piyawan, une femme de 22 ans, dans la province de Nakhon Pathom. Le crime aurait été motivé par des tensions liées à un recouvrement de dettes et des propos offensants. Après avoir tué Ann, les suspects ont démembré son corps, brûlé les restes et enterré une partie derrière leur maison. Les autres parties ont été jetées près d’une vanne dans un temple local. La police a découvert les restes grâce à des recherches coordonnées et des aveux des suspects, qui avaient fui à Chiang Mai.
La police thaïlandaise a arrêté Yamaguchi, un présumé gangster yakuza recherché au Japon pour divers crimes, notamment fraude et blanchiment d’argent. Il opérait depuis Bangkok et était impliqué dans des escroqueries par centres d’appels au Cambodge et au Vietnam, ainsi que dans le blanchiment d’argent via une société appelée « Last Samurai Japan ». Lors de la perquisition, des actifs numériques d’une valeur de 30 millions de bahts ont été saisis. Quatre complices japonais de Yamaguchi ont également été arrêtés. Yamaguchi sera expulsé après l’enquête. La police japonaise l’arrêtera à ce moment-là.
Un garçon de sept ans s’est retrouvé orphelin après que son père, Anu, a tué sa mère, Sasithorn, avant de se suicider. Le meurtre-suicide a eu lieu à Surat Thani. Anu, âgé de 47 ans, aurait tiré sur sa femme avant de se suicider, laissant leur enfant seul. Les problèmes de santé et le stress financier d’Anu semblent avoir motivé cet acte tragique. La police a découvert les corps dans leur maison et enquête sur les circonstances. Ce drame met en lumière les conséquences dévastatrices des troubles physiques et mentaux non traités. On ne sait pas si le mâle a pensé à l’avenir de son fils en commettant l’irréparable.
Un éleveur de 64 ans, Maroning Masu, a été abattu par quatre agresseurs masqués dans le district de Panare, province de Pattani, le 20 mars. Les tueurs, arrivés à moto, ont tiré trois balles dans la tête de la victime avant de fuir. Le mobile reste inconnu, et la police mène une enquête approfondie pour identifier les auteurs et comprendre les raisons de cette attaque brutale qui ressemble au modus operandi des séparatistes musulman. La communauté locale est sous le choc, craignant une escalade de la violence dans la région.
La police thaïlandaise a arrêté Prisanat, administrateur d’un groupe LINE nommé « Second-hand Parts », soupçonné de diffuser de la pornographie infantile. L’opération, menée le 22 mars, a permis de saisir des preuves, telles que des appareils électroniques et un livret bancaire. Prisanat est accusé de possession et distribution de contenu illégal. Cette affaire est liée à une enquête précédente ayant conduit à l’arrestation d’un duo père-fils impliqué dans des activités similaires. Leur réseau aurait généré des revenus mensuels de 40 000 bahts et ces mâles auraient exploité une jeune nièce pendant quatre ans.