
L'étang maudit.
À Nonthaburi, banlieue de Bangkok, le 24 octobre, un bijoutier de 65 ans, Kareem, a tué sa femme, Renu, 54 ans, en la poignardant à cinq reprises. Des disputes liées à des problèmes financiers et à des soupçons d’infidélité survenaient souvent. Selon Kareem, sa femme l’aurait escroqué et aurait eu une liaison. Le jour du drame, une altercation particulièrement violente a éclaté, au cours de laquelle Renu se serait moquée de lui. On ne se moque pas impunément de Kareem ! Les faits se sont déroulés dans leur appartement. La victime a été retrouvée dans la chambre avec plusieurs coups de couteau. Kareem a avoué son crime et a été arrêté sur place. Il a également révélé avoir prémédité son geste en cachant un couteau à l’avance. Le couple était ensemble depuis 40 ans, mais n’était pas marié officiellement. Leurs activités professionnelles communes dans le secteur des pierres précieuses étaient une source constante de tensions. Kareem, accusé de meurtre avec préméditation, est en garde à vue et fera face à la justice.
Le corps sans vie et mutilé d’un adolescent de 15 ans a été retrouvé flottant dans un étang, suscitant une vive émotion. Le 23 octobre, les autorités ont été alertées de la présence d’un cadavre dans un étang, à Ban Dan Kham, province de Mukdahan. Le corps, fortement décomposé, sans tête et avec un seul bras, portait des traces de morsures d’animaux. Grâce à une veste retrouvée près de l’étang, la victime a été identifiée comme étant un garçon de 15 ans, disparu après une dispute avec sa mère. Des autopsies ont été pratiquées pour déterminer la cause exacte du décès. La famille de la victime, notamment sa tante, exprime des doutes sur la nature accidentelle de la mort et demande une enquête approfondie. L’absence de la tête et d’un bras soulève des questions sur les circonstances de la mort. La récente altercation entre l’adolescent et sa mère pourrait être un élément clé de l’enquête. La police continuera à recueillir des témoignages, à analyser les preuves et à effectuer des reconstitutions pour élucider ce mystère.
Les autorités locales enquêtent sur la mort de M. Santichai, 32 ans, dont le corps a été découvert à côté d’une moto abandonnée dans une zone reculée de Chalerm Phra Kiat, à Nakhon Si Thammarat. Il présentait une blessure par balle à la tempe droite. Le drame aurait eu lieu pendant la nuit, et la police pense qu’une dispute avec une autre personne a conduit à la fusillade. Dans ce cas, il s’agirait d’un meurtre. Les autorités recherchent activement des informations pour retrouver l’agresseur.
À Petchaburi, un homme de 41 ans, Wirat, a été arrêté pour le meurtre de son ancienne belle-mère, Pranee Wadprawate, 69 ans. Le corps de la victime a été découvert sans vie à son domicile le 17 octobre, portant des traces de strangulation et délesté de plusieurs objets de valeur. Le mari de la victime a d’abord cru à un décès naturel, mais l’absence d’objets de valeur et une empreinte suspecte ont éveillé les soupçons. Les autorités ont rapidement identifié Wirat comme suspect principal grâce aux images de vidéosurveillance. Wirat, ayant un passé criminel, souhaitait obtenir de l’argent de sa belle-mère. Face à son refus, il a décidé de la tuer. L’homme a soigneusement planifié son crime, en évitant les zones surveillées et en dissimulant les preuves.
Un différend financier a viré au drame sur un marché de Bangkok, dans la nuit du 23 octobre. Un travailleur migrant birman, Bobo Oo, âgé de 27 ans, a été mortellement poignardé au cou avec des ciseaux par un compatriote, Klay Win, 54 ans, agacé par une dette de 500 bahts que la victime n’était pas en mesure de rembourser immédiatement. Après une soirée passée à boire, une dispute a éclaté entre les deux hommes, dégénérant en une violente altercation. Le suspect a alors saisi des ciseaux et porté un coup fatal à la victime. Le meurtrier a pris la fuite, laissant la victime gisant dans une mare de sang. La police a retrouvé les ciseaux utilisés pour commettre le crime, ainsi que des témoignages corroborant les faits. Klay Win est activement recherché. Les enquêteurs analysent les images de vidéosurveillance pour l’identifier et le localiser.