
Image liée au premier crime ci-dessous, Udon Thani.
Un Thaïlandais a poignardé et tué son ex-femme, Sukanya, chez elle à Udon Thani le 19 février, à cause d’un différend lié à leur séparation et aux problèmes de toxicomanie et de jeu de l’agresseur, Rithiporn. Le drame a été signalé par des parents de Sukanya, menacés par Rithiporn. La police a trouvé Sukanya grièvement blessée, et, malgré des tentatives de réanimation, elle est décédée. Rithiporn a été arrêté après avoir fui en moto. La mère de Sukanya a expliqué que la séparation était due au comportement violent de Rithiporn. La visite de réconciliation a tragiquement conduit à une confrontation fatale, laissant la famille dévastée.
Mercredi, à Buriram, un vendeur nommé Somsak a tiré sur sa femme, Nahathai, directrice d’école, avant de se suicider. Nahathai, gravement blessée, est à l’hôpital dans un état critique. Le drame a eu lieu vers 9h30, alors que Nahathai conduisait leur pickup après avoir déposé leur enfant à l’école. Les tensions dues à la jalousie et au diagnostic de cancer de Somsak seraient à l’origine de la tragédie. La scène a été partiellement capturée par des caméras de vidéosurveillance. Les voisins ont rapidement alerté les services d’urgence, et Nahathai reçoit actuellement un traitement intensif.
Interpol a arrêté Bilal Chenfinu, un ressortissant marocain, en Turquie pour le meurtre de son amant thaïlandais transgenre, Thitikarn, à Chiang Mai en décembre dernier. Chenfinu a fui la Thaïlande après le crime, ce qui a déclenché une chasse à l’homme internationale. Il a été arrêté dans un hôtel en Turquie par Interpol. La police thaïlandaise travaille maintenant avec les autorités turques pour l’extradition de Chenfinu. Thitikarn a été trouvé mort le 6 décembre, et les images de sécurité ont montré Chenfinu quittant le bâtiment seul le 5 décembre.
Article du 6 décembre => Le tribunal provincial de Chiang Mai a émis un mandat d’arrêt contre un ressortissant marocain soupçonné du meurtre du Dr Sammy, un éminent médecin transgenre et propriétaire d’une clinique. Le suspect a fui le pays peu après le crime. Le 6 décembre, les autorités ont découvert le corps du Dr Sammy, dans sa clinique située à Mae Hia, Chiang Mai, décédée depuis au moins 3 jours. Le corps présentait des signes d’étranglement. Les enquêteurs se sont concentrés sur son petit ami marocain qui venait de quitter la Thaïlande pour Hong Kong. Les images de surveillance et les témoignages ont conduit les autorités à identifier le suspect comme étant Bilal, 30 ans, qui a abandonné son véhicule à l’aéroport de Chiang Mai.
La police de la province de Buriram a arrêté une mère de 40 ans et sa fille de 17 ans pour prostitution en ligne. Une opération d’infiltration a été mise en place après que des publicités en ligne offrant des services sexuels ont été signalées. Des policiers, se faisant passer pour des clients, ont négocié un rendez-vous et arrêté les deux femmes. La « maman » est accusée de traite des êtres humains et proxénétisme d’une mineure, malgré les affirmations de consentement de la fille.
Le 19 février, la police de Samut Sakhon a arrêté un Birman de 23 ans, Aung Zin Myo, pour le meurtre d’une femme thaïlandaise de 44 ans, Nui. Le corps a été découvert dans une forêt en bordure de route. Un peu avant, un motocycliste a trouvé Aung Zin Myo, ivre et désorienté, à proximité. Nui présentait des signes d’étranglement et une morsure à la jambe. Aung Zin Myo a affirmé qu’il l’avait tuée parce qu’elle avait refusé d’avoir des relations sexuelles avec lui une deuxième fois, après un premier rapport consenti.
Jeudi, la police a sauvé une étudiante de 22 ans d’un hôtel à Lat Phrao, Bangkok, après qu’elle a été victime d’un escroc de centre d’appels. L’étudiante sous emprise avait informé ses parents qu’elle avait été kidnappée et avait besoin d’un paiement de 200 000 bahts pour sa libération. Les parents ont déposé une plainte après avoir perdu contact avec elle. L’enquête a révélé que l’escroc l’avait accusée de blanchiment d’argent et lui avait demandé de se rendre à Chiang Mai. Quand elle a dit qu’elle ne pouvait pas, il lui a suggéré de rester à l’hôtel. Les parents ont été sollicités pour envoyer de l’argent, croyant qu’elle avait remporté une bourse d’étude à l’étranger. La police a obtenu un mandat de perquisition et a trouvé l’étudiante parlant à l’escroc en vidéo, après qu’elle a été contrainte de parler à plusieurs escrocs pendant plus de 17 heures. Les mafieux courent toujours.