Un automobiliste est accusé de meurtre après avoir percuté peut-être intentionnellement et tué un livreur à moto sur Sukhumvit Road à Bangkok. La victime, Ritthisak Prakuptanont, 49 ans, a été retrouvée dans une mare de sang à côté de sa moto endommagée. Le conducteur, Seree Srettheenamwong, 31 ans, a été arrêté rapidement alors qu’il tentait de fuir. Seree conduisait une Toyota Altis blanche et Ritthisak, une moto électrique. Seree a heurté la moto de Ritthisak à l’intersection d’Asoke et ne s’est pas arrêté pour discuter des dommages. Ritthisak a poursuivi la voiture de Seree, l’a rattrapée, est descendu de son scooter et a frappé la carrosserie de la voiture. Après cette dispute, Seree toujours dans sa voiture, a percuté le scooter de Ritthisak intentionnellement. Ce dernier est tombé, a heurté un poteau et est mort sur le coup. La police accuse Seree de meurtre et de conduite dangereuse ayant causé la mort. La préméditation sera au cœur de la procédure. Il est sorti du commissariat après paiement d’une caution de 600 000 bahts.
Un pitbull aurait attaqué et tué un moine dans un temple de Nonthaburi. Le drame s’est produit le 21 janvier, aux premières heures du matin. Le corps très abimé de Phra Bannadit, 46 ans, a été découvert dans ses quartiers, mutilé par le chien. Le moine était mort depuis environ deux jours. Un disciple du temple, Wu, a découvert la scène macabre après s’être inquiété de l’absence du moine. Phra Bannadit avait adopté le pitbull, Jord, il y a plus d’un an. Le chien avait déjà mordu le moine à plusieurs reprises. L’avenir de Jord est incertain, car les autres moines en ont peur. La police a lancé une enquête et envoyé le corps du moine pour une autopsie. À ce stade, s’il est certain que le chien a en partie dévoré le moine, il n’est pas prouvé qu’il l’ait tué. Certains pensent que le molosse a déchiré le corps du moine, mort d’une cause naturelle, car il avait faim.
Un professeur de lycée aurait agressé sexuellement une jeune fille de 13 ans dans la classe d’art d’une école de la province septentrionale de Phitsanulok durant plusieurs mois. Les parents de la victime âgée de 13 ans ont porté plainte contre l’enseignant en 2024 et ont partagé les détails de l’affaire avec DailyNews mardi 21 janvier 2025. Ils voulaient faire pression sur le ministère de l’Éducation pour qu’il agisse. Les parents ont expliqué que l’agression sexuelle s’était poursuivie plusieurs mois au milieu de l’année 2024. L’enseignant touchait les seins et les organes génitaux de la jeune fille après la fin des cours. Il a continué plusieurs mois avant de la violer. La jeune fille a fini par en parler à ses parents, ce qui a conduit à un dépôt de plainte. L’enseignant a été interrogé en novembre 2024 et a nié toutes les allégations. Les parents ont alerté la presse en 2025, car ils craignent que l’affaire soit abandonnée, tout comme les plaintes précédentes contre cet enseignant. Les parents veulent que les responsables du ministère de l’Éducation interviennent, car les responsables de l’éducation de la province ou du lycée ne faisaient rien. Selon les parents, leur fille n’était pas la première victime d’agression sexuelle dans cette école. Huit autres écolières avaient déjà porté plainte contre un autre enseignant pour des crimes similaires. Malheureusement, ces dossiers n’ont pas avancé. Comme en France, la police ne commence à agir que si les associations ou la presse s’emmêlent. L’enseignant serait en garde à vue.
À Pathum Thani, une dispute domestique entre un mari et sa femme a tourné au drame lorsque l’épouse, Oranchon, 27 ans, s’est défendue en poignardant son mari, Manat, 32 ans, entraînant sa mort. Le drame s’est produit le 23 janvier à 1 heure du matin dans un appartement de la ville. La police a découvert le corps de Manat avec une blessure mortelle sous la cage thoracique gauche. La pièce montrait des signes de lutte, avec des effets personnels éparpillés et un couteau de cuisine taché de sang. Oranchon, tenant leur bébé de huit mois, a expliqué en larmes que son mari l’accusait souvent d’infidélité. Lors de la dispute, Manat l’a frappée à la tête avec un pilon, ce qui a conduit Oranchon à se défendre avec un couteau. Mais c’est elle qui est séparée de son bébé et en détention.
La Fondation Peter R. de Vries offre une récompense de 100 000 € pour toute information dans l’affaire Stephan Buczynski, retrouvé mort à Phuket en 2013. Buczynski, 26 ans, a été découvert dans les eaux de Patong Beach, et bien que la police thaïlandaise ait conclu à un suicide, sa famille conteste cette version, citant des preuves d’un acte criminel. Buczynski était en Thaïlande avec son partenaire commercial, Sylvano, lorsque des incidents violents se sont produits. Il a été hospitalisé après une confrontation et retrouvé mort peu après sa sortie, avec des blessures suspectes, dont une fracture du crâne et une cheville cassée. Des incohérences dans les rapports médicaux et le manque de coopération de la police thaïlandaise ont compliqué l’affaire. La Fondation, dirigée par Kelly de Vries, a lancé une campagne pour encourager les témoins à fournir des informations anonymement. Les témoins peuvent contacter la fondation via tip@peterrdevries.nl.
