
Un boxeur de Muay Thai, Hasen Wahani, 27 ans, s’est enfui dans les forêts des montagnes de Yala après avoir mortellement tranché la gorge de son père, Waenu Wahani, 72 ans, le 15 août au matin. La police a trouvé le corps avec une profonde coupure au cou et un couteau ensanglanté à proximité. Hasen, connu également sous le nom de Saifon Rattanaphanu, est recherché par la police. Sa sœur a révélé qu’il n’y avait jamais eu de dispute entre eux et a demandé à Hasen de se rendre. Elle a également supplié la police de ne pas l’abattre lors de son arrestation, expliquant que Hasen faisait face à des difficultés financières. Il est probable qu’il sera arrêté ou qui se rendra très bientôt.
Un jeune soldat, rentré chez lui en permission à Udon Thani, a été attaqué par un adolescent de 15 ans avec une épée, le 14 août. Le garçon a sectionné le bras du militaire. L’agression, motivée par un ressentiment personnel incompréhensible pour les observateurs, s’est produite près d’une école. Le soldat, gravement blessé, a été transporté à l’hôpital où son état reste critique. La mère du soldat a exprimé sa douleur et demande que justice soit rendue. Le jeune agresseur a exprimé ses regrets et la police poursuit son enquête.
Le gardien d’une plantation d’hévéas, Auyphon, a été mortellement abattu alors qu’il rentrait chez lui à moto, à 20 h, le 12 août, à Sadao, Songkhla, à seulement 20 m de chez lui. La police enquête activement pour retrouver l’agresseur. Auyphon, 60 ans, un homme à la vie bien rangée, a été touché à la poitrine par une arme à feu à canon court. Les voisins ont entendu des coups de feu mais ont pensé qu’il s’agissait de pétards. Le motif de la fusillade reste inconnu, mais la police explore toutes les pistes, y compris des différends passés ou des altercations récentes.
Une mère thaïlandaise a accusé un employé non-identifié d’un « centre de développement de l’enfant » d’avoir violé sa fille autiste de huit ans. Les agents du centre ont tous nié en bloc les accusations et ont pointé le beau-père comme suspect potentiel. La mère, identifiée comme A, a demandé l’aide de l’organisation Be One après qu’un médecin a confirmé les preuves de viol. A a expliqué qu’elle conduisait sa fille au centre chaque jour. Les soupçons ont commencé lorsque la fillette a montré des signes de douleur et des écoulements de sang ont été découvert. La police enquête sur l’affaire, y compris sur le mari de A. On comprend que la victime ne peut pas désigner le criminel. Peut-être qu’un médecin compétent pourrait apporter de l’aide.
Un homme, Mongkol, a été abattu par des policiers en civil dans une ruelle de Bangkok, soulevant des questions sur l’usage de la force. Le drame s’est produit le 15 août Soi Narathiwat Ratchanakarin 1, Bang Rak. Mongkol, 46 ans, a été retrouvé avec six blessures par balle. Les policiers ont affirmé qu’il avait tiré sur eux en premier. Le frère de Mongkol, Suksom, a exprimé des doutes sur la nécessité d’une telle violence et a révélé que la police avait empêché la famille de voir le corps. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes de la fusillade.
Yu, un Thaïlandais, a avoué avoir commandé du cyanure de potassium et d’or pour mettre en place un « pacte de suicide » avec la Dr Keng, une universitaire hospitalière de Chantaburi. Keng avait disparu de son domicile le 10 août avant d’être retrouvée dans une chambre louée avec Yu, 34 ans, à Nonthaburi. Le couple s’est ensuite rendu dans la province d’Ayutthaya, où Keng est finalement décédée dans des circonstances suspectes le 15 août. Yu a expliqué le pacte de suicide et a affirmé qu’ils avaient tous deux consommé le poison, mais Yu a tout vomi après en avoir bu. La police a découvert des preuves de poison dans la résidence d’Ayutthaya où s’est déroulé le drame et prévoit d’envoyer Yu dans un hôpital pour un examen médical. L’enquête se poursuit pour déterminer les charges potentielles.