Le corps d’un propriétaire d’arène de combat de coqs de 56 ans disparu depuis le 1er février vient d’être découvert.
Le corps a été retrouvé près d’une palmeraie, à environ 4 km d’une grande route, ligoté et avec des preuves suggérant que de l’acide avait été versé dessus. Le corps a été découvert le 26 mars et envoyé pour un examen médico-légal.
Le lendemain, la presse s’est rendue au domicile de la sœur du défunt, dans la province de Chumphon, où des proches ont confirmé que le corps était bien celui d’un propriétaire d’arène de combat de coqs nommé Khanop. La nièce de la victime, Jaruwan, l’a reconnu sur les photos fournies par la police qu’elle a félicité pour ses efforts.
L’épouse de Khanop, Jae Uan, a exprimé le désir de préparer les funérailles de son mari avant de se rendre à la police, anticipant son arrestation imminente. Jae a également maudit la maîtresse de son mari, Nong Kae.
De l’autre côté, la deuxième épouse de Khanop, Nong, a exprimé son chagrin et affirme qu’elle le recherchait quotidiennement depuis 55 jours.
Nong a également révélé que les proches de Khanop l’avaient invitée aux funérailles , mais qu’elle s’inquiétait pour sa sécurité.
La police a effectivement placé l’épouse Jae en garde à vue pour un interrogatoire plus approfondi concernant le meurtre.
L’affaire a provoqué une onde de choc dans la communauté locale, alors que l’enquête se poursuit pour élucider les motifs et les circonstances de ce crime.
Cependant, on comprend que ce crime n’est pas lié aux combats de coqs mais à la bigamie de l’homme.
Un homme de 58 ans de Lopburi a avoué le meurtre de sa femme, après des mois passés à faire semblant de la rechercher.
L’affaire a été révélée lorsque le comportement de l’homme a éveillé des soupçons de la police, ce qui a conduit à la découverte des restes, enterrés, de sa femme à côté de leur domicile dans la zone menant au temple de Nong Tham.
Le frère de la victime, Sekson, âgé de 44 ans, a signalé mercredi au poste de police de Koktum que sa sœur Sunanta, âgée de 47 ans, avait disparu depuis le 1er août de l’année dernière. La police a ouvert une enquête.
À leur arrivée, les officiers ont rencontré le mari de la femme disparue, Paiboon, qui a tenté de fuir. Après un long interrogatoire de plus de trois heures, il a admis avoir tué Sunanta et enterré son corps à côté de leur maison. Le meurtre a eu lieu le 1er août 2023.
Le chef de du commissariat de Koktum, ainsi que des médecins légistes et des bénévoles d’une fondation locale, ont été appelés sur les lieux. Guidés par Paiboon, ils ont trouvé la tombe, d’environ 80 centimètres de large et 1 mètre de profondeur. Après environ 15 minutes, ils ont découvert un sac contenant les restes décomposés de Sunanta, réduits à un squelette avec seulement de petits morceaux de tissus attachés. Le crâne présentait de multiples fractures.
Paiboon a une histoire amoureuse troublée, avec quatre épouses. Il a hérité d’elles une somme d’argent suffisante pour vivre avec Sunanta pendant plus de deux ans.
Le couple n’avait pas d’enfants et leur relation s’était détériorée en raison de l’alcoolisme et l’addiction aux drogues de Sunanta qui conduisaient souvent à des disputes. Le jour du meurtre, Sunanta a menacé de quitter Paiboon pour un autre homme et l’aurait agressé avec un couteau et une faucille. En retour, Paiboon, en rage, l’aurait frappée avec un marteau.
Après le meurtre, Paiboon a enterré le corps et a fait semblant de chercher sa femme disparue. Par ailleurs, la nuit, il venait pleurer sur la « tombe ».
Cette mascarade a continué pendant des mois jusqu’à ce que son beau-frère s’interroge au sujet de ses visites nocturnes sur un lopin de terre. Paiboon versait de l’alcool et déposait de la nourriture sur le sol comme s’il était en deuil. Ce comportement a finalement conduit à alerter la police et à découvrir la vérité.
À 8 heures du matin, le 30 mars 2024, les policiers de Wiang Sa ont appris qu’un fils avait décapité sa mère dans une palmeraie à Wiang Sa, Surat Thani.
Sur les lieux, le corps sans tête d’une femme a été retrouvé allongé sur un sol en béton. On appris plus tard qu’il s’agissait de Mme Champa Bunthong, 73 ans. Selon le rapport de police, le suspect M. Natthaphon Yuenyong, un fils de Champa âgé de 31 ans, tenait la tête de Champa dans ses mains. Il a couru pour échapper à la police.
Il a tenu la tête dans ses mains durant toute la poursuite. La police a réussi à capturer Natthaphon peu de temps après.
L’enquête a établi que le suspect vivait avec Champa et cinq autres frères et sœurs. Natthaphon n’a jamais causé de problèmes, mais ces derniers temps, il aurait consommé des substances illicites.
Selon la police, Natthaphon n’a aucun casier judiciaire et ne figure pas sur la liste des patients psychiatriques.
Initialement, les médecins ont effectué des tests de dépistage de drogues et n’ont trouvé aucune substance, amphétamine ou cannabis, dans son système sanguin. Cependant, les médecins effectueraient d’autres tests de dépistage de drogues pour déterminer s’il était intoxiqué ou non, au moment des faits.
Un témoin non identifié a déclaré à la police que la nuit précédant le drame, le suspect, ivre, aurait eu une vive dispute avec sa femme. Le jour du drame, il s’est rendu au domicile de Champa et a insulté son neveu. Alors, Champa aurait réprimandé le suspect.
La police interroge davantage le suspect pour déterminer son mobile.
La tombe de Sunanta